Fidèle à un style qui entremêle satire et drame, la réalisatrice organise une vision cauchemardesque de la vie carcérale. Les références aux horreurs nazies nous plongent dans un véritable enfer; la peinture des bassesses humaines nous gratifie de certains passages à l’érotisme dérisoire et sauvage. Le jury maintient le classement accordé en 1976.

25 septembre 2017

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