En 2002, ce vingtième volet des aventures de James Bond avait été réservé aux spectateurs de treize ans et plus. On invoquait alors les combats furieux et les effusions de sang campés dans un contexte où domine l’action. L’évolution de la représentation de la violence à l’écran comme des effets spéciaux permet de situer ces éléments dans une nouvelle perspective. Menés rondement, les affrontements entre bons et méchants sont traités sans grande insistance sur les détails et s’avèrent même parfois invraisemblables. Quelques images montrant le héros torturé sont disséminées en filigrane du générique d’ouverture. En conséquence, le film est reclassé dans une catégorie moins restrictive.

16 novembre 2016

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