Bien que son récit s’appuie sur une histoire d’amour aux prétentions spirituelles, cette comédie s’avère prétexte à de nombreuses scènes où domine un érotisme traité avec complaisance. Épisodes de masturbation et d’accouplement, teintés à l’occasion de références non équivoques au sadomasochisme, ponctuent une intrigue plutôt mince, dont les développements donnent lieu à des relations sexuelles avec nudité qui, si elles sont simulées, sont néanmoins présentées avec insistance, ce qui pourrait troubler indûment enfants et jeunes adolescents.

8 octobre 2009

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