Sur le plateau de tournage de son dernier film postapocalyptique, la cinéaste Joy D’Amato dirige l’actrice Apocalypse, son amoureuse à qui elle décrit les scénarios de ses prochaines œuvres.
Bertrand Mandico signe un hommage au cinéma sous la forme d’une expérience esthétique et sensorielle glam. Trempée dans les maquillages vibrants, les éclairages pastel et les décors futuristes, l’intrigue apparentée au vidéoclip fait jaillir une sensualité éthérée dans ses dialogues récités et sa plastique affectée. Celle-ci comprend quelques touches de nudité et une poignée d’accessoires phalliques.
