Cette dénonciation s’accompagne d’exemples de la violence ayant cours dans
l’établissement : pensionnaires sauvagement tabassés par des gardiens, garçon
sodomisé par d’autres pensionnaires sans intervention punitive de la part des
autorités, toute cette violence amenant au désespoir puis au suicide d’un
délinquant. Le cruel vécu des pensionnaires est montré avec un réalisme et une
intensité que le jury estime devoir réserver à des spectateurs parvenus à un
début de maturité.
Anciennement classé « 18 ans et plus », ce film a été reclassé « 13 ans et plus / Violence » en septembre 2004.
Violence