À Cuba, Santo est enlevé par des gangsters qui l’amènent dans le laboratoire du docteur Campos. Sur place, il se fait injecter un puissant sérum qui le rendra docile en annihilant sa volonté.
Premier volet d’une série de films mettant en vedette le célèbre lutteur mexicain El Santo, cette production tournée avec peu de moyens contient quelques scènes de bagarres athlétiques et chorégraphiées souvent présentées sans son. La facture visuelle en noir et blanc, l’interprétation emphatique et les problèmes de rythme en font aujourd’hui un objet de curiosité destiné à un public cinéphile.