Tourné comme un documentaire à la Blair Witch Project (les acteurs gardent leur
nom, la caméra est tenue à la main, le récit se présente comme les documents
bruts d’une enquête, etc.), le film réserve quelques minutes à certaines violences
(corps d’animaux couverts de sang, pendaison/suicide) et distille un trouble
climat de folie. L’ensemble exige un début de maturité.