Dans leur description de l’univers gay, ces films s’inspirent d’une grande sobriété, à l’exception toutefois du deuxième et du dernier. En effet, dans le deuxième, soit Zero Patience, des hommes se font battre sévèrement et le sang coule bien que cela se passe dans une relative pénombre. Dans le dernier film, soit Easy Money, l’on jette un éclairage crû sur la prostitution gay dont on ne montre que les côtés positifs. Cette absence de sens critique fait en sorte que l’œuvre exige plus qu’un début de maturité du spectateur.

11 janvier 2001

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