Inspiré du roman de Pauline Réage, Histoire d’O, le film mêle les codes et les
tabous sexuels européens aux raffinements orientaux à l’aide d’une esthétique
recherchée et d’une grande maîtrise cinématographique démontrée par le
réalisateur japonais Shuji Terayama. Constituant une des meilleures œuvres
érotiques de l’histoire du cinéma, le film incorpore au développement dramatique
quelques relations sexuelles, dont une brève relation explicite. Notant que les
scènes érotiques sont traitées de manière soft, à une exception près, le jury
maintient le film dans la catégorie « 18 ans et plus », en adjoignant à ce
classement l’indication « Érotisme ».
Anciennement classé « 18 ans et plus », ce film a été reclassé « 18 ans et plus / Érotisme » en février 2005.