Probablement inspiré par des films qui mettent en scène des serial-killers motivés par le délire, le scénario nous plonge ici dans une invraisemblance susceptible d’enlever au film tout son côté trouble. À part les dialogues explicites sur le sort des victimes, reste une violence relativement banale sur le plan iconographique (quelques images de cadavres, nombreux coups de feu tirés à bout portant, blessures sanglantes) et une agression sexuelle surprenante. L’ensemble exige un début de maturité.

4 juillet 2001

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