À Tokyo, en 1840, un mari jaloux assassine son épouse et son amant avant de se
donner la mort. Quelque 150 ans plus tard, un couple d’Américains loue la maison
où ce drame s’est produit. Bientôt, les fantômes de ces lieux viennent hanter les
nouveaux locataires et susciter, une fois de plus, la violence.
Dès l’ouverture, une longue scène vient illustrer le meurtre des amants et le suicide
de l’agresseur. Ces images détaillées, associées à un contexte érotique relativement complaisant, constituent un ensemble susceptible de troubler un public qui
n’aurait pas développé une certaine maturité.