Ce drame psychologique oscille entre le huis clos et des retours en arrière qui relatent les crimes commis par le meurtrier. Quelques scènes comprennent des images sanglantes impliquant diverses formes de violence, dont la torture et l’automutilation. L’insistance avec laquelle elles sont présentées, de même que le climat général du film, incitent le jury à en réserver l’accès à un auditoire possédant un début de maturité.

18 septembre 2008

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