Dans ce film, les histoires semblent confuses et servir de mise en scène à des activités sexuelles avec nudité ou à des meurtres sanglants. Deux histoires ont particulièrement retenu l’attention du jury. Dans la première, une policière est blessée par balle et violée sous la contrainte d’une arme. Ensanglantée, elle réussit tout de même à se libérer et à abattre son agresseur. Dans la deuxième, c’est une infirmière qui est victime d’un viol sauvage. Elle réussit à retracer son agresseur qu’elle assomme, drogue et séquestre. Par la suite, elle lui fait subir une série de sévices d’une cruauté inouïe : brûlures sur le corps à l’aide d’un chalumeau, masturbation du pénis avant de lui planter des seringues dans le gland et de lui brûler les parties génitales avec ce même chalumeau; elle embauche un drogué de qui elle exige de sodomiser sa victime avant de les tuer tous les deux. La sauvagerie se poursuit lorsque cette infirmière décide de s’en prendre à un couple qu’elle massacre à l’aide d’une scie circulaire. Finalement, elle poursuit un homme qu’elle poignarde mortellement d’un coup de couteau dans un œil. À cause de son climat de violence extrême, du sadisme des crimes, du déséquilibre mental apparent de l’infirmière et des multiples scènes d’érotisme, ce film doit être classé, selon le jury, dans la catégorie « 18 ans et plus ». Les indications appropriées accompagnent le classement.

21 septembre 2007

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