Le dernier volet de la trilogie sado-érotique du réalisateur Matthew Saliba allie violence et érotisme dans un climat trouble. La technique très esthétisante inspirée du photoroman n’atténue pas l’horreur des images. La violence côtoie un érotisme fétichiste appuyé, on y voit entre autres une femme nue lécher le corps d’un homme recouvert de bandages puis être caressée par un vieil homme défiguré.

27 mai 2010

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