Les expériences sexuelles des auditeurs sont fidèlement illustrées et leurs ébats
(accouplements à 2 ou à 3) se multiplient. Graphiquement, ces images se
distinguent des films dits de sexploitation par l’absence de plans insistant sur les
parties génitales des protagonistes. L’accumulation de ces images porte le jury à
réserver cette production à un public adulte.