Un tueur en série s’évade en se coupant la main. Des années plus tard, malgré
son handicap, il revient à la recherche de vengeance. Pour commettre ses
crimes, il choisit un musée des horreurs.
Cette œuvre de 1966 présente une histoire qui se développe dans un climat de
tension. Les auteurs ont ajouté des avertissements audiovisuels pour prévenir le
public des scènes choquantes. Dans le contexte de l’évolution de l’art
cinématographique et du consensus social québécois, cette mesure s’avère
plutôt ridicule aujourd’hui, à cause des effets visuels primitifs et peu crédibles et
de l’évocation floue et lointaine de la violence. Le traitement est donc sobre et le
film peut être vu par tout public.
