Kerry Carpenter emménage dans une institution scolaire où vivent déjà plusieurs garçons de son âge. Mal reçu, il essaie tant bien que mal de résister à la tentation d’utiliser ses pouvoirs surnaturels et meurtriers pour se défendre.
À partir de cette intrigue fantastique ténue, cette production fort modeste enchaîne les gros plans sur les torses dénudés des protagonistes, qu’ils soient sous la douche ou à l’entraînement. Les symptômes de possession du personnage principal se traduisent par des séances de caresses lascives en solitaire. Ici, toute la technique est mise au service de la sublimation des corps musclés des jeunes adonis athlétiques. Le traitement des scènes d’affrontements s’avère quant à lui peu convaincant.