À travers quatre récits différents, ce film fait évoluer des personnages obsédés par des films d’horreur, ou qui s’adonnent à des rituels occultes et emploient un langage vulgaire. Il en résulte des images de nudité, parfois associées à des éléments de violence (une fille pratiquement nue est littéralement crucifiée et une autre est violée), ainsi que diverses scènes d’horreur et de violence. Tout en considérant l’aspect satirique du film, le jury estime que cette accumulation d’images troublantes exige des spectateurs une certaine maturité.

3 septembre 2004

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