Issu des studios de production de la maison Troma Entertainment, ce film en possède la marque humoristique usuelle. Avec une surenchère d’effets gore, beaucoup de nudité et un type d’humour fort douteux par sa grande vulgarité, il comporte de nombreuses références à la sexualité, voire à la pornographie, et quelques autres allusions au nazisme. On y présente notamment un coït d’un point de vue interne, un visage arraché et recollé avec du ruban électrique, une femme brûlée vive, une tête coupée dans le sens de la longueur et nombre de pénis qui explosent. La surenchère fonctionne ici très bien : elle surprend et fait sensation.

25 janvier 2013

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