À travers un langage ordurier et provocateur, un homme au visage peint en blanc
présente différents sketches, monologues, pseudo-documentaires, pseudoreportages ou clips musicaux.
Humour absurde, satire, dérision et provocation constituent le menu de ce
produit. Non seulement le langage y est-il très cru, mais on y aborde de façon
cavalière la thématique de la pédophilie. D’autre part, l’une des scènes montre
avec réalisme une main tranchée et mutilée. De l’avis du jury, l’ensemble exige
du spectateur une certaine maturité et, par conséquent, un esprit critique
relativement développé.