Cette œuvre expose le spectateur à nombre d’éléments de violence et de torture. Ainsi, on traîne une femme derrière un véhicule après quoi on l’écrase avec l’auto, ce qui la démembre de manière sanglante. Plus loin, on s’adonne à des pratiques sadomasochistes en promenant des humains (qui en souffrent) comme on promène des chiens. Or, ces éléments de violence gratuite et d’horreur exigent, aux yeux du jury, une véritable maturité du spectateur.

21 janvier 2004

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