« De retour du Vietnam où il a été torturé et où on lui a coupé un doigt, un
homme vit dans la plus abjecte des misères, en compagnie de sa femme et de
son enfant. Désespéré, il tue quelques malfaiteurs, puis sa femme, puis son
enfant et, finalement, il se suicide. » (T.T., 1997-12-01)
En adoptant la forme du monologue, le film évolue dans un climat morbide en
mettant l’accent sur le psychisme dévasté du protagoniste. Le jury réserve le
visionnement de cette œuvre à un public ayant atteint plus qu’un début de
maturité à cause de la complaisance dans la présentation de la violence dans les
cauchemars du protagoniste et des détails sanglants de la tuerie du dénouement.